Né le 5 mars 1847 à Saint-Imier. Décédé à St-Imier le 20 décembre 1914. Fils de François-Louis (1820-1895). Marié à Marie Francillon, fille d’Ernest Francillondhs, fondateur des Longines. Trois enfants : Robert Gagnebin (1876-1884), Suzanne Gagnebin (née en 1890) alliée avec Joe Gagnebin (1877-1938) et Georges Gagnebin-Van Oss (1892-1970), architecte à Genève.
Après des études à Neuchâtel et Stuttgart, G. entre à la fabrique d’horlogerie de son père puis à la fabrique des Longines à Saint-Imier (1896, responsable des services de caisse et de comptabilité), devient fondé de pouvoirs (1898), puis co-gérant (1900, responsable des affaires financières).
Fondateur, à Saint-Imier, de la Société des Officiers et de celle des Sous-Officiers. Président du Conseil de paroisse. Caissier et vice-président de la commission de l'Ecole d'Horlogerie Président de la première commission d’administration de la Banque populaire suisse, membre du Conseil d’administration de la Société suisse pour l’assurance du mobilier. En 1906, G. est appelé par le Conseil fédéral à faire partie du Conseil de banque de la Banque Nationale Suisse.
A l'armée, G. est lieutenant-colonel, il commande le régiment jurassien no 8.
Après des études à Neuchâtel et Stuttgart, G. entre à la fabrique d’horlogerie de son père puis à la fabrique des Longines à Saint-Imier (1896, responsable des services de caisse et de comptabilité), devient fondé de pouvoirs (1898), puis co-gérant (1900, responsable des affaires financières).
Fondateur, à Saint-Imier, de la Société des Officiers et de celle des Sous-Officiers. Président du Conseil de paroisse. Caissier et vice-président de la commission de l'Ecole d'Horlogerie Président de la première commission d’administration de la Banque populaire suisse, membre du Conseil d’administration de la Société suisse pour l’assurance du mobilier. En 1906, G. est appelé par le Conseil fédéral à faire partie du Conseil de banque de la Banque Nationale Suisse.
A l'armée, G. est lieutenant-colonel, il commande le régiment jurassien no 8.
Auteur·trice du texte original: Emma Chatelain, 07/12/2005
Dernière modification: 28/06/2012
Bibliographie
Gustave Amweg, Les Arts dans le Jura bernois et à Bienne, tome 2, Porrentruy, 1941, p. 201
Bernard Gagnebin, « Histoire de la famille Gagnebin. Deuxième partie », in ASJE, 1940-41, pp. 119-120
André Francillon, Histoire de la fabrique des Longines, précédée d'un essai sur le comptoir Agassiz (préface de Bernard Gagnebin), Saint-Imier, 1947, pp. 108, 115
Jacqueline Henry Bédat, Une région, une passion : l’horlogerie. Une entreprise : Longines, Saint-Imier, 1992, p. 123, 124
Robert Gerber, Histoire de Saint-Imier, 1946, p. 105 Le Jura bernois, 22 décembre 1914
Bernard Gagnebin, « Histoire de la famille Gagnebin. Deuxième partie », in ASJE, 1940-41, pp. 119-120
André Francillon, Histoire de la fabrique des Longines, précédée d'un essai sur le comptoir Agassiz (préface de Bernard Gagnebin), Saint-Imier, 1947, pp. 108, 115
Jacqueline Henry Bédat, Une région, une passion : l’horlogerie. Une entreprise : Longines, Saint-Imier, 1992, p. 123, 124
Robert Gerber, Histoire de Saint-Imier, 1946, p. 105 Le Jura bernois, 22 décembre 1914
Suggestion de citation
Emma Chatelain, «Gagnebin, Louis (1847-1914)», Dictionnaire du Jura (DIJU), https://dictionnaire-du-jura.ch/f/notices/detail/3223-gagnebin-louis-1847-1914, consulté le 16/03/2025.